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23.11.2010

Date post: 03-Mar-2016
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Ticino Turismo, Rassegna Stampa Quotidiana, Resto della Svizzera
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Table des matières 22.11.2010 Ticino Turismo Comunicazione Madame Tosca Zanotta Casella postale 1441 6501 Bellinzona No.Client: 41700 Coupures: 2 Pages de suite: 1 Tirage Page Bellinzona Kulturell 20.11.2010 24 Heures Lausanne 40'000 1 Le ciné jeune public joue dans la cour des grands Gotthard Touristisch 20.11.2010 Bote der Urschweiz 15'208 3 «Gottardo 2020» unrealistisch ARGUS der Presse AG Rüdigerstrasse 15 CH-8027 Zürich Tel. +41(44) 388 82 00 Mail [email protected] www.argus.ch
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Page 1: 23.11.2010

Table des matières 22.11.2010Ticino TurismoComunicazioneMadame Tosca ZanottaCasella postale 14416501 Bellinzona

No.Client: 41700Coupures: 2Pages de suite: 1

Tirage Page

BellinzonaKulturell

20.11.2010 24 Heures Lausanne 40'000 1Le ciné jeune public joue dans la cour des grands

GotthardTouristisch

20.11.2010 Bote der Urschweiz 15'208 3«Gottardo 2020» unrealistisch

ARGUS der Presse AG Rüdigerstrasse 15 CH-8027 Zürich Tel. +41(44) 388 82 00 Mail [email protected] www.argus.ch

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Le ciné jeune pu olic jouedans la cour des grandsBelle fenêtre sur le monde, le Festival de Bellinzone a achevé sa 23e édition

Benedetta Gargari, jeune actrice infiniment sensible, en anorexique dans Maledimiele, de Marco Pozzi.L'une des très bonnes surprises du Festival international du cinéma jeune public de Bellinzone. DR

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ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Lausanne

24 Heures1001 Lausanne021/ 349 44 44www.24heures.ch

Date: 20.11.2010

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 40'000Parution: 6x/semaine

N° de thème: 278.10N° d'abonnement: 1049894Page: 35Surface: 61'763 mm²

Réf. Argus: 40667685Coupure page: 1/2

Bellinzona / Kulturell

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Jean-Louis Kuffer Bel I inzoneoom sur cinq jeunes musi-ciens sortis des bidonvillesde Caracas grâce à un réseaud'orchestres classiques dehaut niveau. Gros plan surune anorexique milanaise

dont la maladie reflète les carences rela-tionnelles d'une société gavée. Travellingdans le dédale populeux de Taipei, où laquête d'amour d'un Roméo romantiqueprend des allures de polar cocasse. Unesemaine durant à Bellinzone, le jargon ducinéma a fait florès à la 23e édition de laCastellinaria, Festival international du ci-néma jeune public.

A l'affiche: plus de quarante films venusdu monde entier, choisis pour leurs quali-tés documentaires, mais aussi artistiques,et présentés, en priorité, à une centaine declasses tessinoises des degrés primaires etsecondaires.

Ainsi que l'explique Giancarlo Zappoli,directeur artistique de la manifestation, lesfilms sont sélectionnés selon deux lignesdirectrices. «Pour les jeunes de 6 à15 ans,nous donnons la priorité aux oeuvres quipermettent aux enfants une meilleure iden-tification individuelle dans leur environne-ment familial et social. Et pour les plusgrands, c'est plutôt sur l'ouverture aumonde et aux multiples cultures et modesde vie que nous insistons.»

Autant dire que la Castellinaria relèveà la fois de l'initiation au cinéma à la façonde la Lanterne magique, en marge desgrandes machines commerciales, et del'aperçu documentaire international genreVisions du Réel. Interactif, le festival com-bine découvertes et débats, ateliers et ex-positions. Cette année, ainsi, deux grandesfigures du cinéma et de la littérature «jeu-nesse» étaient à l'honneur, avec MichelOcelot (célèbre pour sa série de Kirikou) etGianni Rodari, cinéaste et écrivain.Jury d'enfantsPour cette édition, 4920 élèves ont assistéaux projections des compétitions, pour untotal de 250 classes. Deux jurys d'enfantsitalophones attribuent les prix des compéti-tions définies par classes d'âge (6-15 ans et16-20 ans). Les enseignants des classes quiassistent à la compétition des plus jeunesparticipent à une rencontre explicative

avec le directeur du festival avant le débutde la manifestation. Ils ont à disposition desfiches pédagogiques à partir desquelles ilspeuvent préparer le débat sur le film qu'ilsont choisi de voir. Aux jurys italophoness'ajoute un jury romand du Prix «hors lesmurs», emmené par deux enseignants ciné-philes de Colombier et de Saint-Imier. Dansla même optique d'ouverture, on relèverala projection de l'intégrale de Romansd'ados, de Béatrice Bakhti, qui a suscitébeaucoup d'intérêt parmi le jeune publictessinois

Egalement ouvert au public «adulte»,le festival se déploie le soir en «événe-ments». En point de mire mardi soir: lapremière d'Allegro crescendo, de CristianoBarbarossa, précédée d'un petit concert decordes rassemblant, autour du jeune vio-loncelliste vénézuélien Jonathan Guzman,une trentaine d'ados tessinois; et la remisedu «Castello d' oro» au célèbre réalisateuritalien Pupi Avati, avant la présentation deson nouveau film Una sconfinata giovi-nezza, évoquant la détresse d'un couplefrappé par la maladie d'Alzheimer.

Ainsi que le relève encore GiancarloZappoli, la Castellinaria, roulant sur unbudget modeste (270 000 francs) et grâceà de nombreux bénévoles, prépare indé-niablement un nouveau public mieux in-formé et plus ouvert, en matière de cinéma,qui se retrouvera plus tard au Festival deLocarno... Une telle manifestation donnera-t-elle des idées aux enseignants vaudois?

Un palmarès en reflet d'un programme pertinent

C'est un poncif que d'évoquer la déprimEdes jeunes d'aujourd'hui, et c'en est unautre que de chanter ceux qui positivent.Or cette antinomie se retrouve dans lepalmarès de la Castellinaria, dominé parThe Dreamer, de l'Indonésien SangPemimpi (Castello d'or de la section 6à 15 ans), Devil's Town du Serbe VladimiPaskaljevic (Prix Tre Castelli pour les 16à 20 ans), et un Prix du public partagéentre Allegro crescendo (A slum Sym-

phony), de Cristiano Barbarossa, toniqueapproche documentaire d'une actionsociale et musicale hors norme au Ve-nezuela, et London River, le dernier filmplus grave de Rachid Bouchared.Même oscillation entre deux de nos coupsde coeur: côté drame d'époque, avecMaledimiele, portrait infiniment sensibled'une jeune anorexique en milieu bour-geois milanais, remarquablement campéepar la jeune Benedetta Gargari, sous ladirection de Marco Pozzi, réalisateur auregard aussi inventif que tendre; et côtécomédie, non moins originale, avecAu revoir Taipei, premier long-métragedu Taïwanais Arvin Chen, qui se plaît à joueravec les clichés du roman noir et des télé-films à l'eau de rose en racontant l'histoired'un amour naissant dans le grouillementde la ville immense où chenapans minableset braves gens se rencontrent dans defolles embrouilles - un vrai bonheur!

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Date: 20.11.2010

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Bellinzona / Kulturell

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Eine Landesausstellung«Gottardo 2020» erscheintnun auch ihrem InitiantenMarco Solari als unrealis-tisch. Die Zeit reiche nichtmehr, sagte er am Freitag inLuzern. Doch hoffe er, dassTeile des Konzeptes bei derNeat-Eröffnung realisiertwürden.Luzern. Der Präsident von Tici-no Turismo sprach vor der Zusam-menkunft der Präsidenten undPräsidentinnen der Kantonsparla-mente. Dabei ging er auf die an-fängliche Euphorie und die dannabflauende Begeisterung über dieIdee «Gottardo 2020» ein eine«frustrierende Phase», wie er sag-te.

Die Tessiner Regierung, die ei-gentlich gehofft habe, mit «Gottar-do 2020» eine Lokomotivfunktionübernehmen zu können, fühltesich laut Solari plötzlich sehr allei-ne. Darum gibt er dem Projekt heu-te keine Chance mehr.

«Gottardo 2020»unrealistisch

«Ich bin kein Don Quijote!»Was aber nach Ansicht von Solaridurchaus eine Chance hätte: dieinteressantesten Vorschläge ausdem «Gottardo»-Konzept zuübernehmen und die Neat-Eröff-nungsfeier «nicht auf eine Band-durchschneidung, eine Festredeund ein Staatsbankett zu reduzie-ren». Mit den Strukturen der Re-gion San Gottardo bestehe bereitseine funktionierende Organisati-on. Er sei kein Don Quijote, derWindmühlen bekämpfe, sagte So-lar. Er glaube immer noch, dassdas Projekt «Gottardo 2020» an-lässlich der Neat-Eröffnung zumgrossen Teil umgesetzt werdenkönnte.Kein HirngespinstDer Feier eine nationale und euro-päische Dimension zu geben, seikein Hirngespinst, sondern wahr-scheinlich eine Notwendigkeit. So-lar: «Es kann doch nicht sein, dasswir in unserem Land nicht mehr fä-hig sind, Projekte zu realisieren,die auch einen ideellen Wert ha-ben.» (sda)

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Date: 20.11.2010

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 15'208Parution: 6x/semaine

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Gotthard / Touristisch

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