ISTITUTO COMPRENSIVO STATALE AIELLO DEL SABATO
Scuola dell’Infanzia, Primaria e Secondaria di 1° grado ad indirizzo musicale con sedi associate di CESINALI – SAN MICHELE DI SERINO – SANTO STEFANO DEL SOLE
Via Croce, n.1 83020 Aiello del Sabato (AV) – tel. 0825-666033/fax 0825-1853930 cod. fiscale 92088160640 cod. meccanografico: AVIC88300E
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SCUOLA SECONDARIA DI 1° GRADO DI CESINALI
Anno Scolastico 2016/2017
PROGETTO AMPLIAMENTO OFFERTA FORMATIVA
SCUOLA SECONDARIA DI 1° GRADO
PERCORSO INTERDISCIPLINARE DI LINGUA FRANCESE
ITALIANO
SCIENZE
TECNOLOGIA
STRUMENTO MUSICALE
CLASSI: 2aA, 2
aB, 3
aA
, 3
a B
Educa i bambini e non sarà necessario
poi punire gli uomini,
Pitagora
2^ A 3^ A 2^ B 3^ B
Andreotti Alessandra Bianco Agostina M. Bilotto Ilaria Aucelli Martina Biondi Antonio Brogna Federica Bruni Eliana V. Cucciniello Francesco Bonito Antonio P. Dell'Apuzzo Martina Casillo Gaia D'Amore Benedetta
Dell'Apuzzo Benedetta Di Pace Ilenia Commone Simone Dello Russo Benedetta L.
Favato Antonio Galasso Bernadette De Padua Pellegrino Falouh Adam
Ferrarese Emanuele Iannaccone Fabiana De Pompa Gabriele Forino Domenico P.
Galluccio Alessio Pellecchia Sabino De Venezia Ilaria Mariconda Luigi
Nappa Chiara Raio Angelo De Vito Annachiara Pepe Emanuela
Romano Maria Romei Elias Franzese Aniello Polcari Iolanda Serio Salvatore Ronca Kristian Franzese Antonio Spina Antonio M.
Spina Carmen Russo Domenico Marinelli Angela G. Spina Marco
Savino Michele Palladino Nancy Taddio Carmine
Spina Sabrina Picillo Mario Taddio Mario
Taddio Raffaele Spagnuolo Maria Vitale Emanuele
Teti Alessandro Urciuoli Alessia
Introduzione
Individuare a prima vista quali connessioni ci potrebbero essere tra la lingua
francese e il progetto legalità, che oggi giunge a conclusione, non è facile;
nemmeno deve trarre in inganno il comodo calembour che gioca
sull’assonanza légalité - égalité. Ed invece sono numerosi i fili che uniscono
questa sezione del progetto, alla lingua francese, la legalità e l’Europa; e
questi fili che dipanano da un tempo storico antico fino a giungere ai giorni
nostri recentissimi. Brevemente voglio cercare di dare una unità di trama per
cogliere meglio i legami a cui ho accennato.
Sebbene di nascita in terra tedesca, Carlo Magno re dei Franchi è il
primo che getta le basi ad una idea di Europa, anche se denominata
Sacro Romano Impero.
Con un salto di diversi secoli è proprio in Francia, la patria
dell’Illuminismo, che viene teorizzato il principio della separazione dei
poteri, con tutto quello che ne discende in tema di ordinamenti
giuridici.
Di lì il passo con la Rivoluzione è alquanto breve, e la Dichiarazione dei
diritti dell’Uomo e del Cittadino sono un’altra impronta della Francia
nell’ambito della legalità e dell’uguaglianza.
Napoleone cerca di ricreare il sogno di Carlo Magno, ma ha un altro
grande merito: crea il Code, che gli sopravvivrà; anzi verrà adottato
come modello di legislazione in diversi stati europei.
Ancora diversi decenni dopo, quando l’Unione Europea è una realtà, in
Francia, a Strasburgo, viene insediato il Parlamento Europeo.
Brevemente ho chiarito quale fosse l’idea guida e le motivazioni del lavoro
svolto dagli allievi, e di come connettere il tema della legalità ad una
disciplina che ora è denominata seconda lingua comunitaria. Ma alla luce
della Brexit, l’aggettivo numerale ordinale potrebbe anche cambiare, dando
ancora maggiore centralità alla lingua francese, con la sua tradizione e la sua
storia.
MONTESQUIEU
Montesquieu, est un penseur politique, précurseur de la sociologie,
philosophe et écrivain français des Lumières, né le 18 janvier 1689 à La Brède.
Montesquieu publie anonymement les Lettres persanes (1721).
Il voyage ensuite en Europe et séjourne plus d'un an en Angleterre où il
observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la
monarchie autocratique. De retour dans son château de La Brède au sud de
Bordeaux, il se consacre à ses grands ouvrages qui associent histoire et philosophie
politique: Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur
décadence (1734) et De l'esprit des lois (1748).
De l’esprit des lois est l’oeuvre la plus importante du philosophe français
Montesquieu. À partir de l’examen, que «le pouvoir absolu corrompt absolument»,
l’auteur analyse les trois sortes de pouvoirs qui incluent dans tous les États: le
pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire.
Montesquieu a cru que les hommes sont essentiellement de trois types de
gouvernement: la République, la monarchie et le despotisme. Le principe qui sous-
tend la République est, selon Montesquieu, la vertu, c'est-à-dire, l’amour du pays et
de l’égalité.
«Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée
ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution
».
Les institutions présentent, dès l’origine, les caractéristiques d’un véritable
régime parlementaire, conforme à la tradition républicaine française dans lequel les
pouvoirs de l’exécutif sont renforcés afin d’accroître les capacités d’action du
Gouvernement.
Il existe:
le pouvoir législatif, confié à un Parlement (Assemblée nationale et le Sénat)
le pouvoir exécutif, confié à un gouvernement composé d'un Premier
ministre et des ministres, à la tête duquel se trouve un Président.
le pouvoir judiciaire, confié aux juridictions, appelé autorité judiciaire.
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JEAN-JACQUES ROUSSEAU
Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève, mort le 2 juillet 1778, est un
écrivain, philosophe et musicien francophone. Les ouvrages qui inscrivent Rousseau
dans le monde de la pensée sont le Discours sur les sciences et les arts (1750), le
Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755) et Du
contrat social (1762) La philosophie politique de Rousseau est bâtie autour de l'idée
que l'homme est naturellement bon et que la société le corrompt.
CONTRAT SOCIAL
L'œuvre a constitué un tournant décisif pour la modernité et s'est imposée comme
un des textes majeurs de la philosophie politique, en affirmant le principe de
souveraineté du peuple appuyé sur les notions de liberté, d'égalité, et de volonté
générale.
Dans Du contrat social, Rousseau établit qu’une organisation sociale «juste» repose
sur un pacte garantissant l’égalité et la liberté entre tous les citoyens.
Rousseau, alors pense à un État démocratique et républicain, où l'inégalité sociale
ne peut ne doit exister.
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Articolo 1: La sovranità appartiene al popolo, che la esercita
nelle forme e nei limiti della Costituzione.
VOLTAIRE
François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris, ville où il est
mort le 30 mai 1778 , est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe
siècle.
Représentant le plus connu de la philosophie des Lumières, il est à son époque le
chef de file du parti philosophique, et sera avant la Révolution française et pendant
le début du XIXe siècle le philosophe préféré de la bourgeoisie libérale.
Son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les
«philosophes».
Considéré par la Révolution française, avec Jean-Jacques Rousseau, comme un
précurseur, il entre au Panthéon en 1791.
Candide ou l'Optimisme est un conte philosophique de Voltaire paru à Genève en
janvier 1759.
"Il faut cultiver notre jardin"
est tout d’abord une phrase de conclusion du chapitre XXX, mais aussi une
conclusion de l’œuvre.
La citation de Voltaire, qui aujourd’hui parle encore, décrit la "culture" en jardin du
"savoir", en jardin de la "connaissance". Si personne dans ce monde ne détient de
savoir suprême, comme la sagesse, cultiver chaque jour notre jardin, notre savoir,
nous permet d’apprendre à parler peu, à refuser les idées pré mâchées, et à garder
un esprit vierge, vif, ouvert sur le monde, à l’écoute de l’autre.
"Il faut cultiver notre jardin", c’est-à-dire qu’il faut travailler si on veut être heureux,
il faut entretenir son bonheur.
Il laisse un message fort en faveur du travail, qui constitue pour lui la valeur principale de la sociétè du vivre-ensemble.
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Articolo 1: L'Italia è una Repubblica democratica,
fondata sul lavoro.
LES SOURCES…
….DES LOIS
LE CODE NAPOLÉON
L’appellation «Code Napoléon» désigne notre Code Civil et ses 2281 articles
d’origine, au regard de son Histoire. L’expression «Code Napoléon» désigne
aujourd’hui ce qui, dans notre Code, n’a pas été modifié depuis l’adoption de ce
Code.
Le Code Civil est un recueil de lois qui
réglementent la vie civile des français, de la
naissance à la mort. Il fonde les bases écrites de
notre droit moderne français. Sa force vient du
fait qu’il est applicable à l’ensemble des français :
il marque la fin des législations particulières pour
les régions du nord et du sud, les mêmes lois
s’appliquant à tous. Il s’inscrit dans l’idéologie
légaliste.
Le code Napoléon (Code civil) est le Code Civil en vigueur en France et est l’un
des codes civils les plus célèbres du monde, ainsi appelés parce qu’il voulait par
Napoléon Bonaparte.
Il a servi de modèle et influencé tous les codes ultérieurs et exercé une
influence considérable dans de nombreux pays dans le monde.
Le code Napoléon se souvient encore aujourd'hui comme le premier code
moderne, introduisant la clarté et la simplicité des règles et surtout réduire les
unités de la personne morale.
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789
La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 est un texte
fondamental de la Révolution française, qui énonce un ensemble de droits naturels
individuels et les conditions de leur mise en œuvre. Ses derniers articles sont
adoptés le 26 août 1789
Les textes de l'ONU concernant les droits humains
En plus de la Charte des Nations unies de 1945, un besoin d’encourager le respect et
la réalisation des droits humains et des droits fondamentaux se fait sentir.
Le 10 décembre 1948 la Déclaration universelle des droits de l’homme est donc
adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU et représente « l’idéal commun à
atteindre par tous les peuples et par toutes les nations ».
DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN DE 1789
COSTITUZIONE
ITALIANA DEL 1948
CONSTITUTION
FRANÇAISE DE 1958
(PRÉAMBULE)
Art. 1er.
Les hommes naissent et
demeurent libres et égaux
en droits. Les distinctions
sociales ne peuvent être
fondées que sur l'utilité
commune.
Art. 3
Tutti i cittadini hanno
pari dignità sociale e
sono eguali davanti alla
legge, senza distinzione
di sesso, di razza, di
lingua, di religione, di
opinioni politiche, di
condizioni personali e
sociali…..
Art. 1er.
La France est une République
indivisible, laïque,
démocratique et sociale. Elle
assure l'égalité devant la loi
de tous les citoyens sans
distinction d'origine, de race
ou de religion. Elle respecte
toutes les croyances......
DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN DE 1789
COSTITUZIONE
ITALIANA DEL 1948
CONSTITUTION FRANÇAISE DE 1958 (PRÉAMBULE)
Art. 2.
Le but de toute
association politique est la
conservation des droits
naturels et
imprescriptibles de
l'Homme. Ces droits sont
la liberté, la propriété, la
sûreté, et la résistance à
l'oppression.
Art. 11
L'Italia ripudia la guerra
come strumento di offesa
alla libertà degli altri
popoli e come mezzo di
risoluzione delle
controversie
internazionali; consente,
in condizioni di parità con
gli altri Stati, alle
limitazioni di sovranità
necessarie ad un
ordinamento che
assicuri la pace e la giustizia
fra le Nazioni; promuove e
favorisce le organizzazioni
internazionali rivolte
a tale scopo.
La République française, fidèle à ses traditions, se conforme aux règles du droit public international. Elle n'entreprendra aucune guerre dans des vues de conquête et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN DE1789
COSTITUZIONE
ITALIANA DEL 1948
CONSTITUTION FRANÇAISE DE 1958 (PRÉAMBULE)
Art. 3.
Le principe de toute
Souveraineté réside
essentiellement dans la
Nation. Nul corps, nul
individu ne peut exercer
d'autorité qui n'en émane
expressément.
Art. 1
L'Italia è una Repubblica
democratica, fondata sul
lavoro.
La sovranità appartiene al
popolo, che la esercita
nelle forme e nei limiti
della Costituzione.
Art. 3.
La souveraineté nationale
appartient au peuple qui
l'exerce par ses
représentants et par la voie
du référendum.
DÉCLARATION DES
DROITS DE L’HOMME
ET DU CITOYEN DE
1789
COSTITUZIONE ITALIANA DEL 1948
CONSTITUTION FRANÇAISE DE 1958 (PRÉAMBULE)
Art. 12
La bandiera della
Repubblica è il
tricolore italiano:
verde, bianco e rosso,
a tre bande verticali di
eguali dimensioni.
Art. 2.
La langue de la République est le
français. L'emblème national est le
drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
L'hymne national est «La Marseillaise».
La devise de la République est «Liberté,
Égalité, Fraternité». Son principe est:
gouvernement du peuple, par le peuple
et pour le peuple
Sarebbe davvero un bel vivere, e anche un bel mondo, se davvero
ogni uomo potesse godere appieno dei diritti proclamati
solennemente dalle varie Carte. Ma diversamente da Candide, noi
non viviamo nel migliore dei mondi possibili e le storie che adesso
sono presentate, ne sono purtroppo un esempio. Una è a noi più
vicina, quanto meno dal punto di vista geografico, l’altra racconta
di una storia di amicizia spezzata, in terra da noi lontana, coinvolta
in un conflitto bellico, dagli amari frutti.
I Cento passi e Il cacciatore di aquiloni.
I CENTO PASSI
“1,2,3…100 passi” era la distanza che separava la casa della
famiglia Impastato da quella del boss della mafia Tano
Badalamenti di Cinisi, la distanza tra due realtà ben differenti
tra di loro, da un lato la gente semplice e perbene, dall’altro la
malavita, l’illegalità. Peppino Impastato, il protagonista, si
schierò contro la mafia, denunciò tutti i crimini attraverso la sua
radio (“Radio Aut”), e si ribellò al padre. Correva l’anno ’68 e
Peppino si candidò alle elezioni comunali, sperando in un
miglioramento, ma poco prima, il 9 maggio dello stesso anno,
rimase vittima di un attentato mafioso: sul suo corpo venne
posta una carica di tritolo e, adagiato sui binari della ferrovia,
venne fatto esplodere. Il caso fu archiviato e solo dopo tanti
anni si scoprì la verità: il mandante di quell’ assassinio era il Boss
Tano Badalamenti. Il tema principale è l’illegalità, rappresentata
dalla Mafia, un’ organizzazione criminale nata in Sicilia nella
prima metà dell’800, per poi diffondersi in tutto il mondo;
un’organizzazione di potere che trae profitti da numerosi tipi di
attività criminali, illecite. Il termine mafia indica un grande
sistema che sta uccidendo il nostro futuro e molte sono le
vittime. Oltre a Peppino Impastato, infatti ricordiamo due
grandi magistrati Giovanni Falcone e Paolo Borsellino, due eroi
che hanno lottato contro questa organizzazione, pagando con la
vita. In loro memoria il 23 Maggio di ogni anno, circa 50.000
studenti, provenienti da tutto il Paese, si riuniscono a Palermo in
un grande coro contro la mafia, per la legalità e soprattutto per
far rivivere gli insegnamenti di questi grandi personaggi da cui
dobbiamo prendere esempio. Tra questi, Giovanni Falcone
pronunciò una frase divenuta celebre: “Gli uomini passano, le idee
restano”.
IL CACCIATORE DI AQUILONI
Il film “Il cacciatore di aquiloni”, ispirato all’omonimo best-
seller, è ambientato nella Kabul degli anni ’70. Il protagonista si
chiama Amir ed è il figlio di un ricco imprenditore. Il suo
migliore amico è Hassan, figlio di uno dei servi. I due condividono
una passone: quella per gli aquiloni. Dopo la vittoria di una gara
legata, appunto, a questo gioco, dei perdenti invidiosi seguono
Hassan per sottrargli l’aquilone. Quest’ultimo, non disposto a
cedere alla prepotenza, è vittima di una violenza, al quale l’amico
assiste senza intervenire. A causa dei sensi di colpa, Amir prova
in tutti i modi ad allontanarsi da Hassan, ed un giorno è
costretto a farlo, per via dell’arrivo dei sovietici in Afghanistan.
Imprenditore e figlio partono per l’America, dove continuano
serenamente la loro vita. Amir si sposa e diventa scrittore. Un
giorno, però, riceve una telefonata da un vecchio amico del padre
(ormai morto) che gli chiede di tornare in Pakistan per risolvere
un problema urgente: salvare il figlio i Hassan, che scopre
essere suo nipote, ostaggio dei talebani. Così Amir si precipita a
Kabul , e solo dopo aver affrontato vari ostacoli, l’uomo e il
ragazzino, riescono a ritornare negli Stati Uniti e a vivere una
vita felice. Questo film tratta l’argomento della legalità che
purtroppo è spesso assente, non solo nella popolazione, ma anche
fra coloro che fanno parte dei governi. In Paesi come
l’Afghanistan, i talebani detengono il potere con il pugno di ferro
e hanno eliminato tutti i diritti. La scena più rappresentativa è
quella finale: Amir e Sorab fanno volare insieme un aquilone,
simbolo di libertà.
I TESTIMONI DELLA LEGALITÀ
GIOVANNI FALCONE
23 maggio 1992, Giovanni Falcone viene assassinato sull’autostrada che portava dall’aeroporto di
Punta Raisi a Palermo. È stata l’esplosione di una bomba, fatta scivolare sotto il manto stradale
con uno skateboard, ad ucciderlo. In un’intervista del 1985 Giovanni disse: «Gli uomini passano, le
idee restano. Ognuno deve fare la propria parte, per creare una Palermo migliore, senza orrori.»
«Si muore generalmente perché si è soli o perché si è entrati in un gioco
troppo grande. Si muore spesso perché si è privi di sostegno. La mafia
colpisce i servitori dello Stato che lo Stato non è riuscito a proteggere»
PAOLO BORSELLINO
19 luglio 1992, Paolo Borsellino viene assassinato sotto casa della madre. In una intervista rilasciata
all'inizio del luglio 1992, Borsellino aveva dichiarato: «Io accetto le conseguenze del lavoro che
faccio, del luogo dove lo faccio e anche di come lo faccio. Lo accetto perché ho scelto di farlo e
sapevo fin dall'inizio che pericoli correvo. Io credo profondamente nel lavoro che faccio. E so che
tutti noi abbiamo il dovere morale di continuarlo a fare senza lasciarci condizionare dalla certezza
che tutto questo può costarci caro.»
«No, non sono né un eroe né un kamikaze, ma una persona come tante altre.
Temo la fine perché la vedo come una cosa misteriosa, non so quello che
succederà nell’aldilà. Ma l’importante è che sia il coraggio a prendere il
sopravvento.»
DON PINO PUGLISI
Don Pino Puglisi, è stato ucciso il 15 settembre 1993, il giorno del suo
compleanno. Un uomo lo ferma mentre sta per entrare in parrocchia, l’altro, estrae la pistola. Don
Pino con un sorriso sulle labbra dice: «Me lo aspettavo». È così che si spegne il sogno di tutta una
vita, quello di togliere i ragazzi dalla strada e dalle grinfie della mafia. Diceva spesso: «I sogni
colorano il buio».
«Credo a tutte le forme di studio, di approfondimento e di protesta contro la
mafia. La mafiosità si nutre di una cultura e la diffonde:
la cultura dell’illegalità.»
PINO TILOCCA: IL SINDACO MAESTRO
L’omertà è: “Pensare che ciò che accade al tuo vicino non ti riguardi... Nei paesi molti sanno ciò che accadrà e permettono che accada, i responsabili non vengono isolati”.
Pino Tilocca nel 2000 è stato eletto sindaco del comune di Burgos, un piccolo paese situato nel cuore della Sardegna. Fin dall’inizio del suo mandato è stato oggetto di azioni violente mirate ad intimidirne la condotta. La sua politica intrapresa era destinata a modernizzare il paese nel suo insieme, ad eliminare certi interessi privilegiati radicati nella zona, nonché a valorizzare i beni della comunità. Evidentemente quest’azione politica ha fortemente turbato gli equilibri da lungo tempo esistenti nel paese. Nel corso degli anni Pino ha invitato persone importanti, per farle incontrare con i suoi ragazzi, testimoni importanti che hanno lottato contro l’illegalità come: Don Ciotti, Gad Lerner, Isoke Aikpitanyi, Nando Della Chiesa, Alidad Shiri.
MALALA YOUSAFZAI
“Libri e penne sono le mie armi”
Malala Yousafzai è una ragazzina a cui piace leggere e andare a scuola. Ma nel Paese in cui è nata,
il Pakistan, il fanatismo dei fondamentalisti islamici vuole negare alle donne ogni diritto, primo fra
tutti quello di avere un’istruzione. Malala però è determinata e inizia a scrivere a soli 13 anni un
blog per la BBC, la radio-televisione inglese, in cui testimonia la dura realtà del suo Paese. Scatena
così l’odio dei talebani, che nel 2012 le sparano alla testa sul bus che la riporta a casa da scuola.
Trasportata a Londra, Malala viene curata e si salva. Il giorno del suo sedicesimo compleanno, nel
luglio del 2013, ha tenuto un discorso all’ONU in favore del diritto all’ istruzione per tutti, senza
discriminazioni.
IQBAL MASIH: UN BAMBINO CORAGGIOSO
Era nato nel 1983 Iqbal Masih e aveva quattro anni quando suo padre decise di venderlo come schiavo a un fabbricante di tappeti per 12 dollari. Picchiato, sgridato e incatenato al suo telaio, Iqbal inizia a lavorare per più di dodici ore al giorno. Un giorno del 1992 Iqbal e altri bambini escono di nascosto dalla fabbrica di tappeti per assistere alla celebrazione della giornata della libertà organizzata dal Fronte di Liberazione dal Lavoro Schiavizzato (BLLF). Forse per la prima volta Iqbal sente parlare di diritti e dei bambini che vivono in condizione di schiavitù. Spontaneamente decide di raccontare la sua storia che viene
conosciuta in tutto il mondo. Ma la storia della sua libertà è breve. Il 16 aprile 1995 gli sparano a bruciapelo mentre corre in bicicletta nella sua città natale Muridke. Con i 15 mila dollari del Premio Reebok per la Gioventù in Azione ricevuti nel dicembre 1994 a Boston, Iqbal voleva costruire una scuola perché i bambini schiavi potessero ricominciare a studiare.
DON LUIGI MEROLA
Luigi ha sempre odiato le ingiustizie, fin da bambino.
Tanto che i genitori lo mandano a fare qualche
esperienza di lavoro nel tentativo di temperare quel
carattere così irruente. Poi arriva la vocazione: Luigi
entra in seminario e diventa sacerdote nel 1997. Figlio
di operai, è nato e cresciuto a Napoli. E la sua città
non l'ha mai lasciata, nemmeno per un attimo. Nel
2000 diventa parroco di Forcella, uno dei quartieri più
belli e difficili della città. Droga, sparatorie, armi. E
tanti bambini nati da mamme-bambine. E' a loro che don Merola si dedica. Napoli non l'ha mai
abbandonata. Nemmeno quando Forcella viene ferita a morte, nel 2004. Una ragazzina di 14 anni,
Annalisa Durante, il 27 marzo di quell'anno si macchia di una colpa indelebile: passare nel luogo
sbagliato al momento sbagliato, durante una sparatoria tra il clan Giuliano e il clan Mazzarella.
Muore così, Annalisa, e il parroco non sta a guardare, non riesce a stare in silenzio: durante
l'omelia del funerale attacca duramente la camorra. E lo fa tenendo alta l'attenzione sul popolo di
Forcella, ma anche smantellando materialmente le telecamere che il clan Giuliano aveva installato
per “sorvegliare” il quartiere. Non si sa quale sia stata la goccia che ha fatto traboccare il vaso, il
punto definitivo di rottura. Ma nel 2004, qualche mese dopo l'assassinio di Annalisa, viene
intercettata la frase di un camorrista: “Lo ammazzerò sull'altare”. Inizia una lunga serie di
intimidazioni. Dal 2004 don Luigi vive sotto scorta. Oggi non è più parroco di Forcella, ma non ha
smesso di dedicarsi alla sua città. Dal 2007 il suo impegno per l'infanzia diventa “‘A voce d'e
creature”, una fondazione che offre accoglienza e servizi ai ragazzini. Perché l'anticamorra inizia
dove finisce la solitudine.
NEL MARE CI SONO I COCCODRILLI
Quella che ora vi racconterò è la storia di Eniatollah, un bambino (afgano) che inizia
il suo viaggio, che durerà 8 anni, a Nava, un paesino dell’Afghanistan, e si conclude
in Italia. La sua, è la storia di un cammino verso la libertà. All’inizio è felice nel suo
villaggio, ma prigioniero della violenza tra etnie e religioni. Alla fine della storia si
trova invece in Italia, cresciuto, con la sua casa, un suo lavoro e i suoi affetti,
rispettato e finalmente libero. In mezzo, tra questi due estremi, c’è un lungo viaggio,
che porta il protagonista dall’ Afghanistan in Pakistan, poi in Iran e Turchia e infine in
Grecia e Italia. Un viaggio con tanti momenti drammatici, di dolore e sofferenza, per
abbandono della madre, per l’inimicizia degli uomini, per il lavoro pesante e il salario
minimo, per la paura di essere scoperto. Enaiatollah è, infatti, ovunque vada, un
clandestino, privo di documenti validi e braccato dalla polizia, che cerca di
rimandarlo in Afghanistan; è costretto a fuggire da un paese all’altro da una
frontiera all’altra, per mare, per terra e per montagna, fino a quasi morire, per
trovare un rifugio sicuro. Ma è anche un viaggio in cui non mancano momenti di
gioia, solidarietà degli amici e dei ragazzi che viaggiano con lui. In balia dei trafficanti
di uomini, che trattano i ragazzi come una merce, solo alla fine del cammino
daranno a Enaiatollah la sua carta d’identità. Solo in quel momento potrà guardare
in faccia senza paura di essere accusato, inseguito, catturato, picchiato,
imprigionato. Solo allora sarà diventato libero, sarà diventato adulto. E noi come lui.
Nel 1989, l’Assemblea Generale delle Nazioni Unite ha approvato la “Convenzione
sui diritti dell’infanzia” stabilendo che ogni individuo ha il diritto a ricevere
un’infanzia piena e felice, con la sua famiglia. Non può essere privato della sua
libertà, dell’istruzione, delle cure mediche e della giusta alimentazione; deve essere
libero di giocare fino al compimento dei 18 anni. La “Convenzione” è stata
approvata dal Parlamento di tutti i Paesi del mondo, ma spesso non applicata. Solo il
rispetto di questi diritti, spesso calpestati nell’indifferenza dell’opinione pubblica,
potrà salvare tanti bambini e dare loro un futuro sereno.
La guerra Ner mejo che un Sordato annava in guerra er Cavallo je disse chiaramente: Io nun ce vengo! - e lo buttò per terra precipitosamente. No, nun ce vengo - disse - e me ribbello all'omo che t'ha messo l'odio in core e te commanna de scannà un fratello in nome der Signore! Io - dice - so' 'na bestia troppo nobbile p'associamme a l'infamie che fai tu; se vôi la guerra vacce in automobbile, n'ammazzerai de più! Trilussa
Legalità non è, e non può essere solo una parola;
esempi ci vengono dalla storia antica e recente dove
dei comportamenti della società ci fanno vedere come
questo concetto assume aspetti e connotazioni diverse
nei tempi e nei luoghi.
La legge rende liberi
<< Mi chiamo Marco Tullio Cicerone, sono nato nel 106 a.C. e sono deceduto nel 46
a.C. Sono una delle figure più importanti dell’antica Roma e sono un oratore,
avvocato e politico. Sono famoso per le mie più abili orazioni giudiziarie e lotto per
esprimere il valore delle leggi sulla società. Sapete qual è la differenza tra Stato di
diritto e Stato di natura?
Ve la spiego io. Lo Stato di diritto si basa su una Costituzione e su una serie di leggi
che tutelano i diritti del cittadino.
Nello Stato di natura, invece, gli uomini vivono in condizione di massima libertà,
senza essere regolati dalle leggi. Senza le leggi a regolarli, gli uomini perdono tutto il
rispetto per la vita e la libertà degli altri e si sfocia nella violenza. >>
In un’orazione giudiziaria, Cicerone esprime il valore e l’importanza delle leggi sulla
società: È una vergogna che in uno Stato di diritto si trasgrediscano le leggi. Questo è
infatti il vincolo che garantisce la nostra posizione sociale in seno allo Stato, questo il
fondamento della libertà, questa la fonte della giustizia; la mente, il senno, il pensiero
di una comunità, tutto è basato sulle
leggi. Come il nostro corpo non può
reggersi senza la mente, così lo Stato
senza la legge non può valersi delle sue
parti, che sono come i suoi nervi, il suo
sangue, le sue membra. Ad applicare le
leggi sono chiamati i magistrati, a
interpretarle i giudici, ma tutti, per
concludere, siamo al servizio delle
leggi per poter essere liberi.
Cicerone, Pro Cluentio 146
Sophia e il filosofo
S: Che cos’è la libertà?
F: La libertà è un modo di essere, una
condizione che permette, a chi la possiede,
di agire senza costrizioni di qualsiasi genere. Vivere da persone libere vuol
dire poter pensare, operare, scegliere in modo autonomo. Tu conosci il
detto “La mia libertà finisce là dove comincia la tua?”
S: Chi stabilisce i confini della libertà di ciascuno?
F: La libertà personale, anche in un Paese democratico, è sempre limitata
dal rispetto della libertà altrui. Tutte le nazioni hanno una Costituzione che
è la base su cui viene costruita la vita dello Stato, è l’insieme delle regole.
Lo Stato è un insieme di persone che vivono in un determinato territorio,
riconoscono di avere punti di riferimento comuni e vogliono vivere
secondo regole uguali per tutti stabilite in un atto che prende il nome di
Costituzione. Un tempo il re comandava in modo assoluto. Faceva le leggi,
le faceva applicare, la faceva rispettare dai giudici che lui stesso nominava.
S: Oggi il Presidente della Repubblica non può fare quello che vuole…
F: “La legge è uguale per tutti” e questo comporta dei diritti e dei doveri
per tutti, primo fra tutti il dovere di rispettare la legge, di vivere secondo i
principi della legalità.
S: In pratica noi ragazzi che cosa possiamo fare?
F: Anche i ragazzi devono essere cittadini consapevoli dei propri diritti e
dei propri doveri. L’insegnamento della cittadinanza attiva è uno dei primi
compiti della scuola che educa alla legalità che è principio fondante della
convivenza civile.
S: Ed è quello che noi ragazzi cerchiamo di fare tutti i giorni in classe.
L’ETICA, OVVERO L’ARTE DI FARE LA COSA GIUSTA
L’etica è una branca della filosofia che studia i fondamentali razionali che
permettono di assegnare ai comportamenti umani uno status deontologico,
ovvero distinguerli in buoni, giusti, leciti, rispetto ai comportamenti
ritenuti ingiusti, sconvenienti o cattivi recando un ideale modello
comportamentale.
Spesso a etica e morale vengono attribuiti significati diversi, ma sono
molto simili. Cicerone, lo studioso e politico dell’antica Roma, coniò la
parola “moralis”, radice della parola “morale” e traduzione della parola
greca “ethikos”, radice della parola “etica”.
Tutte e due fanno riferimento al “fare la cosa giusta”, perciò si possono e
si devono usare indifferentemente.
L’etica si basa sul fare le scelte giuste, ma perché? Se fossimo soli non ce
ne sarebbe bisogno, ma visto che viviamo ogni giorno con altre persone,
abbiamo il dovere di fare la scelta giusta, che deve essere presa pensando
all’effetto che avrebbe sul prossimo. Il compito dell’etica è di trovare
l’equilibrio tra l’aiutare il prossimo e aver cura di se stessi. Ma sembra
che la gente stia continuando a vivere con un altro valore, un altro codice
di comportamento, basato su scorciatoie e convenienza, ma così
vivrebbero solo pochi di noi nel benessere e a lungo.
Vivere rispettando le regole dell’etica non è solo la cosa giusta da fare,
ma è anche l’unica maniera per vivere bene in una società. (B.
Weinstein)
Il Concetto di Legalità
Il concetto di Legalità si fonda sul rispetto della legge, senza il
quale non può esistere una convivenza civile.
Nel 1955, a Montgomery, nell’Alabama, Usa, Rosa Parks, una
donna di colore, infranse la legge, rifiutandosi di cedere il suo
posto sull’autobus a un uomo bianco.
Commise un atto illegale, ma fece la cosa giusta. Certo, le leggi
sono importanti
per mantenere
la pace e
prevenire il
caos, ma per
ogni legge noi
ci dobbiamo
domandare: “È
giusta? È equa?
È legittima?”.
Le buone leggi hanno il fondamento nell’etica.
Non solo abbiamo il diritto di NON obbedire alle leggi ingiuste,
ma si potrebbe addirittura sostenere che abbiamo il dovere di
disobbedire, dobbiamo essere però pronti ad accettare anche le
conseguenze della nostra disobbedienza, che, nel caso di Rosa
Parks, significò andare in prigione.
Legalità è combattere le discriminazioni razziali.
L’Apartheid è una legge giusta?
A quanto pare in Sudafrica dal 1948 al 1991 è stata definita una legge
giusta fino all’arrivo di un grande uomo: Nelson Mandela chiamato anche
“Madiba” nella sua etnia di appartenenza e “Rolihlahla” fin dalla nascita.
Fu leader del partito dell’African National Congress per la conquista dei
diritti civili per i neri e per questo fu condannato a una lunga detenzione.
Mandela si batté per l’indipendenza del Sudafrica seguendo l’esempio
di altri eroi e dopo aver ottenuto l’indipendenza Mandela fu eletto
primo presidente di colore in Sudafrica nel 1994. Egli ricevette il
Premio Nobel per la pace denunciando l’apartheid, descrivendola
come una legge ingiusta.
Le leggi dell’apartheid:
1) Negare il diritto di voto ai neri.
2) Vietare i matrimoni misti.
3) Costringere la popolazione di colore a vivere in quartieri-ghetto.
4) Limitare la libertà di movimento.
5) Accedere solo nei locali loro destinati.
Anche noi dovremo porgerci delle domande e dire: ”L’apartheid è una
legge giusta? È equa? È legale?” Proprio come ha fatto lo stesso
Mandela, tutti dovremo avere il coraggio di combattere anche se non è
sempre facile.
E ALTRE
PAROLE DA
SAPERE
Per capire che cos’è la legalità,
dobbiamo innanzitutto conoscere
le definizioni dei termini tecnici.
Regola: indica le cose che si
possono fare in una determinata
situazione.
Ordinamento giuridico: insieme
delle regole che disciplinano una
comunità.
Costituzione: insieme delle
regole che stabiliscono come si
vive in uno stato, difendendo i
diritti e doveri principali delle
persone.
Legge (contenuto): regola
generale emanata da un ente a cui
è concesso di farlo e generalmente
munita di sanzione.
Legge (provvedimento): atto
attraverso il quale si introduce la
regola.
Legalità: la situazione in cui la
legge viene rispettata.
Legittimità: caratteristica di ciò
che rispetta i requisiti richiesti
dalla legge.
Diritto (soggettivo): ciò che è
consentito fare
Dovere: ciò che siamo obbligati a
fare, anche se non vogliamo.
Sanzione: conseguenza negativa
imposta per la violazione di una
regola.
Cittadinanza: partecipazione a
pieno titolo di uno Stato, con
riconoscimento a pieno titolo dei
propri diritti e doveri.
Giustizia: ciò a cui devono
corrispondere le regole per essere
applicate.
Brasile-Olimpiadi 2016
“il trionfo della legalità nello sport”
Rio De Janeiro olimpiadi 2016.
Sulla pista di atletica si stanno correndo i 5000 metri femminili. Siamo
attorno al terzo chilometro, quando la neozelandese Nikki Hamblin
finisce a terra trascinando con sé l'americana Abbey D'Agostino.
Quest'ultima, cadendo, si infortuna al ginocchio. Mesi di faticosi
allenamenti, di rinunce e speranze gettati al vento. Eppure
l'americana trova la forza di rialzarsi e di incoraggiare chi l'ha fatta
cadere a fare altrettanto e a
riprendere la gara. Ormai non più
per contendersi la vittoria, ma per la
soddisfazione di finire ciò che era
stato iniziato. A sua volta Nikki
Hamblin, vedendo la compagna di
sventura ricrollare a terra per il
dolore al ginocchio, si ferma e le
presta aiuto, invitandola a tener
duro. Fino a quel traguardo,
raggiunto tra gli applausi di un
pubblico colpito da quei gesti di
solidarietà. Un gesto molto bello
che ha fatto commuovere tutti nel
vedere due ragazze aiutarsi
nonostante fosse una semifinale.
Noi ragazzi sportivi dobbiamo
seguire questi begli esempi di
solidarietà e di legalità.
Dobbiamo avere il coraggio di condannare quelle persone che fanno
uso di doping; condannare chi non rispetta le regole; chi corrompe le
persone per vincere. Dobbiamo avere il coraggio di condannare ciò che
non è corretto, ciò che non è legale.
Le parole della legalità
Bullismo e reato
- Lo scherzo è un evento divertente, che non ha l’intenzione di ferire e
ammette reciprocità;
- Il litigio è un dissidio occasionale che nasce intorno a una
incomprensione, a una differenza, a una competizione - ad esempio
amorosa - ma non è ripetuta nel tempo. Due persone possono litigare
anche molto aspramente senza per questo rivolgersi delle prepotenze, e
poi chiarirsi e tornare a rapportarsi in modo sereno;
- Il bullismo è una relazione fatta di prepotenze ripetute, sempre tra le
stesse persone, in una situazione di squilibrio di forze, dove chi ha il
potere lo utilizza volutamente per ferire il più debole.
Un comportamento configura un reato se infrange una norma giuridica.
Questo può accadere con atti di bullismo ma anche con azioni
all’interno di semplici litigi.
I comportamenti dell’uomo, a volte hanno ricadute sui loro
simili, e quando corrispondono ad azioni positive è un bene
per tutti; delle volte invece, le azioni cattive producono
effetti non proprio amichevoli, per quanto riguarda le
persone. Se tuttavia è la natura che deve subire degli
affronti, allora il risultato è l’inquinamento.
Inquinamento
Siamo sempre più immersi in una rete di relazioni, da
quelle virtuali sulla rete, a quelle più reali; ciò crea una
comunità che necessariamente deve avere delle
regole, le quali oltre ad indicare delle condotte da
tenere, mirano anche a salvaguardare l’incolumità
delle persone. È il caso dei comportamenti da tenere
sulla strada: in questo stretto ambito è possibile
apprezzare il legame tra la legalità, che viene dalle
regole e la responsabilità di chi le osserva a tutela si sé
stesso e degli altri.
Legalità: UNICA STRADA PER UNA CIVILE CONVIVENZA
Progetto di Educazione Stradale: Sulla strada scegli la vita: partire……………..per ritornare
La scuola Secondaria di primo grado “Enrico Cocchia” di Cesinali, grazie
anche all’Educazione Stradale, tende ad elevare il livello d’istruzione personale e
preparazione di ciascun cittadino e ne potenzia la capacità di partecipazione ai
valori della convivenza sociale e di contributo al loro sviluppo. Gli incontri con le
forze dell’ordine (Carabinieri) introducono concretamente l’argomento
“Educazione alla Legalità”. Uno degli obiettivi principali dell’educazione stradale
è perseguire negli adolescenti lo sviluppo alla capacità di mettere in atto
comportamenti corretti e responsabili in materia di sicurezza sulla strada.
Educazione alla legalità:
Acquisizione della consapevolezza della necessità e importanza delle
norme volte a regolare la vita associata.
Sviluppo della capacità di comprendere, condividere consapevolmente,
rispettare e concretizzare nei propri atteggiamenti e comportamenti i valori
etici e civili insiti nelle norme.
Sviluppo dell’autonomia personale e del correlato senso di
responsabilità.
Sviluppo di un crescente rispetto per la vita , di una disponibilità
sempre maggiore a soddisfare i doveri e gli impegni di solidarietà umana e
sociale.
Gli obiettivi educativi generali da perseguire sono pertanto i seguenti:
Presa di coscienza della necessità e importanza delle norme volte a regolare
la vita associata con particolare riferimento a quelle relative alla strada
Sviluppo di un crescente rispetto per la vita degli altri, di una disponibilità
sempre maggiore di soddisfare i doveri e gli impegni richiesti dai vincoli di
solidarietà umana e sociale.
A seguire il programma proposto:
Elementi essenziali per la formazione giuridica
o vita in società
o norma giuridica
o tutela dei beni comuni
o illecito amministrativo
o violazioni di carattere penale che possono essere commesse: (gare di
velocità, guida in stato di ebbrezza o sotto l’effetto di sostanze
stupefacenti, rifiuto di declinare generalità art .651 c.p., declinare
false generalità art.495 c.p., incauto acquisto art.712 c.p., ricettazione
art.648-649 c.p.)
Norma giuridica
o la necessità per l’uomo di stare con gli altri simili dà vita ad una
collettività di individui che convivono per realizzare fini comuni e
quindi si organizzano a tale scopo. Si vuole porre l’accento
sull’assetto organizzativo della società, della collettività e pertanto è
doveroso richiamare il termine norma ossia regola di condotta,
ordinata al fine di disciplinare l’assetto organizzativo della
collettività. Dato per scontato che in seno ad ogni società possiamo
riscontrare diverse categorie di norme sociali: norme etiche,
politiche, di costume, religiose etc. , è di comune dominio che la
norma giuridica pur essendo norma sociale in quanto si rivolge ai
destinatari quali componenti di una società, si differenzia dalle altre
norme in virtù di caratteristiche che in via dominante sono
identificate nella intersoggettività e nella coercibilità .
Illecito
o il nostro ordinamento giuridico da un lato prevede e sottopone a
specifica regolamentazione fatti leciti rilevanti nell’ambito della
società civile, (es. il matrimonio,contratti, circolazione dei veicoli
etc. ) , dall’ altro prevede e punisce i fatti illeciti. Va sottolineato che
l’illecito, cioè l’atto umano contrario al diritto vigente, può assumere
nell’ordinamento giuridico le forme seguenti:
illecito penale (o reato) allorché al fatto umano l’ordinamento
medesimo ricollega quale conseguenza una delle sanzioni
principali (pene) previste dall’art.39 c.p. e cioè reclusione,
multa, arresto, ammenda, la cui applicazione è demandata
esclusivamente al giudice ordinario mediante il processo
penale.
illecito amministrativo (o violazione amministrativa) allorché
al fatto l’ordinamento ricollega, quale conseguenza “la
sanzione pecuniaria amministrativa” talora impropriamente
chiamata “ pena pecuniaria” ovvero sanzioni quali la perdita
della licenza, la chiusura del locale, il ritiro della patente , ect.
O sanzioni congiunte, per l’applicazione delle quali è attribuita
specifica competenza agli uffici amministrativi.
illecito civile per quegli atti o fatti per i quali la normativa
vigente prevede come sanzioni soltanto il risarcimento del
danno o la restituzione di quanto acquisito illegittimamente.
Codice della Strada: regole generali
o principi della sicurezza stradale art.1 c.d.s.
o classificazione della strada e parte di essa artt.2-3c.d.s.
o organi preposti a svolgere servizi di Polizia stradale art.11c.d.s.
o utenti della strada artt.46-47-48-49-50-52-53-54-56-57 c.d.s.
o segnaletica stradale artt.38-39-40-41c.d.s.
o età per la conduzione dei veicoli art.115c.d.s.
o ciclomotore regolare art.52c.d.s.
Codice della Strada: norme di comportamento
o comportamento dei pedoni art.190c.d.s.
o comportamento dei conducenti nei confronti dei pedoni art.191c.d.s.
o comportamento dei ciclisti artt.377 regolamento del c.d.s.
o comportamento di chi conduce un ciclomotore artt.170-171c.d.s.
o ciclomotori alterati-confisca art.97c.d.s. e 198 del regolamento
o posizione dei veicoli sulla carreggiata artt.143-145-146-147-149c.d.s.
o cinture di sicurezza art.172c.d.s.
Come obiettivi educativi e cognitivi ci proponiamo, nelle tre fasce d’età che
interessano la scuola secondaria di primo grado, di trasmettere la conoscenza e la
consapevolezza del rispetto della legge, dei rischi della violazione, la
responsabilità nei confronti di se stessi e degli altri, con obiettivo specifico di
conoscenza delle norme di un corretto comportamento civile e stradale con
riferimenti a comportamenti di guida prudente e alla capacità di affrontare le
emergenze. L’obiettivo è volto anche alla conoscenza delle norme inerenti alla
sicurezza personale e sociale (cenni di norme di comportamento, uso delle cinture
del casco, condizioni psico-fisiologiche della guida che favoriscono l’incidente
stradale).
Con i ragazzi si affrontano:
Temi e comportamenti legati al pedone e al ciclista, con riferimenti alle
norme di comportamento del pedone, del ciclista, alla segnaletica stradale.
Temi legati alle norme di precedenza: segnaletica specifica, esempi pratici
e sottoposizione di test e quiz con gli argomenti trattati.
Con i ragazzi più grandi, già utenti della strada come conducenti di
velocipedi e prossimi anche di veicoli a motore, focalizziamo il nostro
intervento sugli aspetti delicati dell’educazione alla legalità, e alla
prevenzione dei sinistri stradali provocati da una guida sprezzante talora
delle immodificabili leggi della natura (energia cinetica, forza di attrito,
forza centrifughe, forza centripeta), che regolano i nostri comportamenti su
strada, talora delle condizioni psicofisiche del conducente.
Si affrontano inoltre temi legati alla responsabilità del conducente con
riferimenti alle sanzioni civili, penali e amministrative, si parla quindi delle
“multe”, dei sequestri, dei danni, dei contratti con le compagnie
assicuratrici, della rivalsa sull’assicurato.
Ai ragazzi introduciamo gli argomenti, con l’ausilio di materiale informatico,
mostrando loro filmati e testimonianze di incidenti stradali;
Sempre attraverso immagini, si confrontano i comportamenti legati all’uso di
sostanze stupefacenti o di bevande alcoliche e si analizzano gli effetti dirompenti,
immediati e a lungo termine, di queste sostanze sull’organismo umano.
La chiarezza, la semplicità e la grande disponibilità all’ascolto rimangono
sicuramente le strategie più importanti per comunicare i contenuti principali del
nostro intervento.
Classe 1A19%
Classe 2 A21%
Classe 3A20%
Classe 2B20%
Classe 3B20%
Classi che hanno risposto al questionario
Spazio per giocare
3%
Spazio per pedoni e veicoli
90%
Spazio per pedoni
7%
Che cos'è la strada
Spazio Carri14%
Spazio Veicoli85%
Spazio monopattino
1%
Che cos'è la carreggiata
Non attraverso se non trovo le strisce pedonali
8%
Guardo a destra e sinistra
86%
guardo a destra ed
attraverso in fretta
6%
Devo attraversare la strada senza semaforo e strisce pedonali
Un bambino che va in bicicletta
0%
Un adulto che ha i piedi
troppo grandi0%
Chi circola sulla strada a piedi
100%
Chi è il pedone
Dare multe10%
Dirigere il traffico dei veicoli e dei
pedoni90%
pulire le
strade0%
La funzione principale del vigile è:
Il campanello, il fanale anteriore
bianco e posteriore
rosso e catarifrangenti
97%
Solo il fanale
bianco o giallo
davanti3%
solo il campanello
0%
Per viaggiare in sicurezza la bicicletta deve avere
Si, a volte23%
Si, sempre24%
Mai53%
Quando vai in bicicletta usi il caschetto:
N° 1116% N° 186
4%
N° 11890%
In caso di incidente Chiamo il numero....... per il soccorso sanitario
Forma triangolare
21%
Forma circolare78%
Forma rettangolare
1%
I segnali di divieto sono di :
Ad abbellire
e colorare la strada
4%
A far rispettare il codice della
strada96%
A fare pubblicità
0%
A cosa serve la segnaletica stradale:
MUSICA E LEGALITÀ
Gli alunni concludono il percorso dedicato alla
“Settimana della Musica”
integrato con il percorso di
“Educazione alla Legalità”
«… Perché l’immaginazione aiuta la democrazia …»
Mercoledì 24 maggio 2017 – ore 19,00
TEATRO D’EUROPA – CESINALI – AV
E
Giovedì 1° giugno 2017 – ore 17,00
AUDITORIUM SCUOLA SECONDARIA I GRADO – CESINALI – AV
Un proverbio cinese
Quando gli occhi sono aperti,
il risultato è la vista.
Quando la mente è aperta,
il risultato è la sapienza.
Quando è aperto lo spirito,
il risultato è l’Amore.