sezione VI; sentenza 2 marzo 1989 (causa 359/87); Pres. Koopmans, Avv. gen. Lenz (concl. conf.);Pinna c. Caisse d'allocations familiales de la SavoieSource: Il Foro Italiano, Vol. 112, PARTE QUARTA: GIURISPRUDENZA COMUNITARIA ESTRANIERA (1989), pp. 333/334-335/336Published by: Societa Editrice Il Foro Italiano ARLStable URL: http://www.jstor.org/stable/23182945 .
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GIURISPRUDENZA COMUNITARIA E STRANIERA
CORTE DI GIUSTIZIA DELLE COMUNITÀ EUROPEE; se zione VI; sentenza 2 marzo 1989 (causa 359/87); Pres. Koop
mans, Avv. gen. Lenz (conci, conf.); Pinna c. Caisse
d'allocations familiales de la Savoie.
CORTE DI GIUSTIZIA DELLE COMUNITÀ EUROPEE; !
Comunità europee — Cee — Sicurezza sociale dei lavoratori mi
granti — Assegni familiari — Disciplina (Trattato Cee, art. 177;
reg. 14 giugno 1971 n. 1408 Cee del consiglio, relativo all'ap
plicazione dei regimi di sicurezza sociale ai lavoratori subordi
nati, ai lavoratori autonomi ed ai loro familiari che si spostano nell'interno della Comunità, art. 73).
Fino a quando il consiglio non avrà emanato nuove norme con
formi all'art. 51 del trattato Cee, la dichiarazione d'invalidità
dell'art. 73, par. 2, del regolamento 1408/71 determina la ge
neralizzazione del sistema di corresponsione delle prestazioni
familiari stabilito all'art. 73, par. 1, del medesimo rego lamento. (1)
1. - Par arrèt du 19 novembre 1987, parvenu à la Cour le 1"
décembre suivant, la Cour de cassation de France a posé, en ver
tu de l'article 177 du traité Cee, deux questions préjudicielles con
cernant l'interprétation de l'article 73 du règlement n. 1408/71
du Conseil, du 14 juin 1971, relatif à l'application des régimes de sécurité sociale aux travailleurs salariés et à leur famille qui
se déplacent à l'intérieur de la Communauté (JO L 149, p. 2). 2. - Ces questions ont été soulevées dans la cadre d'un litige
ayant pour objet le refus de la Caisse d'allocations familiales de
la Savoie d'octroyer à M. Pinna des prestations familiales dues
pour des périodes situées au cours des anriées 1977 et 1978.
3. - M. Pinna, de nationalité italienne, réside en France avec
son épouse et leurs deux enfants Sandro et Rosetta. En 1977,
les enfants ont effectué avec leur mère un séjour prolongé en
Italie. La Caisse d'allocations familiales de la Savoie a refusé
d'accorder à M. Pinna des prestations familiales dues pour San
dro, au titre de la période comprise entre le 1" octobre et le 31
décembre 1977, et pour Rosetta, au titre de la période comprise
entre le 1" octobre 1977 et le 31 mars 1978, au motif que celles-ci
devraient ètre versées par l'Istituto nazionale per la previdenza
sociale de L'Aquila, lieu de séjour des enfants en Italie à cette
époque. Cette décision semble avoir été fondée sur l'article 73,
paragraphe 2, du règlement n. 1408/71.
4. - L'article 73, paragraphe 1 et 2, du règlement n. 1408/71
dispose: «1. Le travailleur salarié soumis à la législation d'un Etat mem
bre autre que la France a droit, pour les membres de sa famille
qui résident sur le territoire d'un autre Etat membre, aux presta
tions familiales prévues par la législation du premier Etat, corn
ine s'ils résidaient sur le territoire de celui-ci.
2. Le travailleur salarié soumis à la législation fran?aise a droit,
pour les membres de sa famille qui résident sur le territoire d'un
Etat membre autre que la France, aux allocations familiales pré
vues par la législation de l'Etat sur le territoire duquel résident
ces membres de la famille; il doit remplir les conditions relatives
à l'emploi auxquelles la législation fran?aise subordonne l'ouver
ture du droit aux prestations». 5. - M. Pinna e introduit une action judiciaire contre la dèci
Sion susmentionnée. Saisie du pouvoir de M. Pinna, la Cour de
cassation a demandé à la Cour de se prononcer à titre préjudiciel:
1) sur la validité et le maintien en vigueur de l'article 73, para
graphe 2, du règlement n. 1408/71, du 14 juin 1971;
2) sur le sens à donner au terme «résidence» contenu dans ce
texte.
(1) La sentenza con la quale era stata posta dalla Corte di cassazione
francese alla Corte di giustizia la questione risolta con la decisione in
epigrafe è riportata in Foro it., 1988, IV, 244, nella cui nota si auspicava che la corte di Lussemburgo colmasse il vuoto legislativo che da parte francese si pretendeva di far sussistere all'indomani della pronuncia 41/84
del 1986 (id., 1987, IV, 64), con la quale era stata dichiarata l'illegittimità dell'art. 73, par. 2, del regolamento Cee 1408/71, che prevedeva, in via
transitoria, un particolare regime di erogazione delle prestazioni familiari
da parte della Francia in base al quale, mentre per quanto atteneva all'in
sorgenza dei requisiti richiesti per il diritto alle prestazioni si aveva ri
guardo alla legislazione francese, la misura della prestazione era quella stabilita dalla legislazione del paese di residenza dei familiari del lavora
tore occupato in Francia.
Il Foro Italiano — 1989 — Parte IV-15.
6. - Dans l'arrèt du 15 janvier 1986 (41/84, Ree. p. 1), la Cour,
statuant sur cette demande préjudicielle, a dit pour droit:
«1) L'article 73, paragraphe 2, du règlement n. 1408/71 est
invalide en tant qu'il exclut l'octroi de prestations familiales fran
?aises aux travailleurs soumis à la législation frangaise, pour les
membres de leur famille qui résident sur le territoire d'un autre
Etat membre.
2) L'invalidité constatée de l'article 73, paragraphe 2, du règle ment n. 1408/71 ne peut ètre invoquée à l'appui de revendica
tions relatives à des prestations pour des périodes antérieures à
la date du présent arret, sauf en ce qui concerne les travailleurs
qui ont, avant cette date, introduit un recours en justice ou sou
levé une réclamation équivalente». 7. - A la suite de cet arrèt, la Cour de cassation a estimé que,
eu égard notamment aux règles institutionnelles définies à l'arti
cle 51 du traité Cee, il subsistait une incertitude sur les disposi tions régissant désormais le service des prestations familiales aux
travailleurs migrants à la législation fran?aise. 8. - C'est la raison pour laquelle la Cour de cassation a une
nouvelle fois sursis à statuer et saisi la Cour à titre préjudiciel des questions de savoir
«1) Si l'fnvalidation du paragraphe 2 de l'article 73 du règle ment n. 1408/71 conduit à la généralisation du système de verse
ment des prestations familiales défini au paragraphe 1" de ce texte
ou impose, au contraire, l'adoption de nouvelles normes selon
la pocédure prévue à l'article 51 du Traité de Rome;
2) dans cette dernière hypothèse, quel serait, durant la période
transitoire, le système applicable aux travailleurs migrants soumis
à la législation francai se».
9. - Pour un plus ampie exposé des faits de l'affaire au princi
pal, du déroulement de la procédure et des observations soumises
à la Cour, il est renvoyé au rapport d'audience. Ces éléments
du dossier ne sont repris ci-dessous que dans la mesure nécessaire
au raisonnement de la Cour.
10. - Par sa première question, la Cour de cassation demande
si la déclaration d'invalidità de l'article 73, paragraphe 2, du rè
glement n. 1408/71 conduit à la généralisation du système de ver
sement des prestations familiales dèfini à l'article 73, paragraphe
1, du mème règlement ou si elle impose l'adoption de nouvelles
normes dans ce domaine.
11. - Il y a lieu de rappeler d'abord que, dans l'arrèt du 15
janvier 1986, la Cour a constaté que l'article 73 du règlement n. 1408/71 introduisait une distinction entre les travailleurs em
ployés en France et ceux employés dans les autres Etats membres.
12. - La Cour a constaté dans l'arrèt précité qu'étant donné
que l'article 73 du règlement n. 1408/71 crée, pour les travail
leurs migrants, deux systèmes différents, selon que ces travail
leurs sont soumis à la législation frangaise ou à celle d'un autre
Etat membre, cet article ajoute aux disparités résultant des légi
slations nationales elles-mèmes et, par conséquent, entrave la rea
lisation des buts énoncés dans les articles 48 à 51 du traité.
S'agissant plus précisément d'apprécier la validité de l'article 73,
paragraphe 2, lui-mème, la Cour a observé que le critère retenu
par cette disposition n'était pas de nature à assurer l'égalité de
traitement, presente par l'article 48 du traité, et ne pouvait dès
lors pas ètre employé dans le cadre de la coordination des législa tions nationales qui est prévue par l'article 51 du traité, en vue
de promouvoir la libre circulation des travailleurs dans la Com
munauté conformément à l'article 48 de ce mème traité.
13. - Aussi longtemps que le Conseil n'a pas établi, suite à
l'arrèt de la Cour, de nouvelles règles en la matière qui soient
conformes à l'article 51 du traité, cette disposition s'oppose à
ce que les autorités nationales continuent d'appliquer un règime
de prestations familiales contraire au droit communautaire. Il leur
incombe, en effet, de tirer les conséquences, dans leur ordre juri
dique, d'une déclaration d'invalidité prononcée dans le cadre de
l'article 177 du traité.
14. - Ces considérations impliquent que les autorités nationales
sont obligées d'appliquer, mème aux travailleurs soumis à la légis
lation franfaise, le régime prévu par l'article 73, paragraphe 1,
qui reste, à l'heure actuelle, le seul système de référence valable.
15. - Dans le cadre des observations soumises à la Cour, il
a été objecté, en particulier par le gouvernement fran?ais, que
cette interprétation de l'article 73, paragraphe 1, n'était pas envi
sageable au motif que le membre de phrase «autre que la Fran
ce» concernait la situation de travailleurs soumis à la législation
d'un Etat membre autre que la France et que la législation fran
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PARTE QUARTA
gaise demeurait done explicitement exclue du champ d'applica tion de cette disposition.
16. - Cet argument ne peut pas ètre retenu. En effet, le mem
bre de phrase «autre que la France» figurant à l'article 73, para
graphe 1, du règlement litigieux ne peut etre interprété que par référence au régime spécifique défini à l'article 73, paragraphe
2, du melme règlement, de sorte que la déclaration d'invalidité
de cette dernière disposition prononcée par l'arrèt de la Cour du
15 janvier 1986, n'a pu avoir pour effet que de priver le membre
de phrase en cause de raison d'etre et de portée utile. Ce membre
de phrase doit done etre considéré comme déjà implicitement dé
claré invalide par ledit arrét. Par ailleurs, une telle interprétation
s'impose car une interprétation différente priverait l'arrèt du 15
janvier 1986 de toute portée utile.
17. - Il y a done lieu de répondre à la première question que, aussi longtemps que le Conseil n'a pas établi de nouvelles règles
qui soient conformes à l'article 51 du traité, la déclaration d'in
validité de l'article 73, paragraphe 2, du règlement n. 1408/71
entrarne la généralisation du système de versement des presta tions familiales défini à l'article 73, paragraphe 1, du mème rè
glement. 18. - Compte tenu de la réponse donnés à la première question,
il n'y a pas lieu de statuer sur la deuxième question préjudicielle. Sur les dépens. — (Omissis) Par ces motifs, la Cour (sixième chambre) statuant sur les que
stions à elle soumises, par la Cour de cassation de France, par arrét du 19 novembre 1987, dit pour droit:
Aussi longtemps que le Conseil n'a pas établi de nouvelles rè
gles qui soient conformes à l'article 51 du traité Cee, la déclara
tion d'invalidité de l'article 73, paragraphe 2, du règlement n.
1408/71 entrarne la généralisation du système de versement des
prestations familiales défini à l'article 73, paragraphe 1, du mè
me règlement.
CORTE SUPREMA DEL CANADA; sentenza 28 gennaio 1988; Pres. ed est. Dickson, Giudici Beetz e Wilson; Morgentaler ed altri c. R. e Avvocato generale del Canada.
CORTE SUPREMA DEL CANADA;
Aborto e interruzione volontaria della gravidanza — Canada —
Normativa penale sull'aborto — Incostituzionalità.
È costituzionalmente illegittimo l'art. 251 del codice penale cana
dese, in quanto, prevedendo la punibilità dell'aborto, ed esen
tando da responsabilità penale solo in quanto sia stata ottenuta
dalla donna un 'autorizzazione da parte di un 'apposita commis
sione, viola l'art. 7 della Charter dei diritti e delle libertà cana
desi, menomando la sicurezza personale fisica e/o psichica della
donna senza che ciò sia giustificato da interessi pressanti dello
Stato al funzionamento di una simile macchinosa procedura. (1)
(1) Le libertà fondamentali in Canada e la saga del dottor Morgentaler.
1. - Sia da un punto di vista politico che da un punto di vista giuridico, Regina v. Morgentaler et al. (1) va annoverato come una delle più signifi cative decisioni dalla recente entrata in vigore della Charter dei diritti e delle libertà canadese (2). È scopo di questa nota analizzare l'importan za del caso e riflettere sul suo impatto potenziale sullo sviluppo del diritto
penale canadese. Prima di intraprendere l'indagine, sarà apportuno rendere noto il con
(1) (1988) 1 Supreme Court Reports (Canada) 30 (d'ora in poi citata come S.C.R).
(2) Canadian Charter of Rights and Freedoms, entrata in vigore con il Costitution Act, 1982, Schedule B.
Il Foro Italiano — 1989.
(Omissis). — Version frangaise du jugement du juge en chef
Dickson et du juge Lamer rendu par Le Juge en Chef. — Ce pourvoi vise principalement à détermi
ner si les dispositions du Code criminel, S.R.C. 1970, chap. C-34, sur l'avortement enfreignent le «droit [de chacun] à la vie, à la
liberté et à la sécurité de sa personne», vu qu'«il ne peut ètre
porté atteinte à ce droit qu'en conformité avec les principes de
justice fondamentale», selon la formulation de l'art. 7 de la Charte
canadienne des droits et libertés. Les appelants, le Dr. Henry Mor
gentaler, le Dr. Leslie Frank Smoling et le Dr. Robert Scott, font
valoir treize moyens distincts des pourvoi. Au cours des plaidoi ries cepedant, il est devenu apparent que le litige portait surtout
testo della vicenda giudiziaria, evidenziando da un lato il posto tutto spe ciale che ha il dott. Morgentaler nella storia giuridica canadese, e breve
mente illustrando la struttura basilare della «Charter of Rights» del Canada.
2. - Il dottor Morgentaler non è alla sua prima controversia legale ed
è stato in primo piano nel movimento canadese in favore dell'aborto per almeno venti anni. Prima del 1969, ogni tipo di aborto era illecito in
Canada. In quell'anno, fu introdotta una notevole eccezione alla previa
generale proibizione; gli aborti potevano essere attuati per motivi tera
peutici, sempreché una commissione di approvazione dell'aborto conclu
desse che la continuazione della gravidanza avrebbe procurato un danno
od un pericolo alla salute della madre. In teoria, tale procedura sarebbe
stata applicabile in ogni stadio della gravidanza. Il dottor Morgentaler praticava aborti in una clinica realizzata ad hoc per questo tipo di inter
venti, senza l'osservanza della previa richiesta di autorizzazione alla com
missione per l'aborto terapeutico, né in ossequio ai criteri di solito usati da questa per dare l'autorizzazione. Egli considerava l'aborto come un
problema di scelta della donna. Benché le sue tecniche terapeutiche fosse ro considerate ineccepibili, egli fu ripetutamente messo sotto processo
per violazione delle norme sull'aborto di cui al codice penale canadese. Le battaglie legali instauratesi in proposito hanno avuto un considere
vole effetto sulla conformazione del diritto penale canadese; tanto che
si può dire che nessun altro cittadino canadese sia stato cosi determinante
nell'opera di trasformazione del diritto criminale del Canada.
Cosi, a titolo di esempio, nel primo processo penale a carico del dott.
Morgentaler, la Corte di appello del Quebec ha annullato il verdetto della
giuria di primo grado — che lo aveva giudicato innocente — condannan do direttamente invece di ordinare un nuovo processo, prassi comune mente seguita fino ad allora. Un tale sistema era sostanzialmente senza
precedenti e presto condusse ad una riforma, con la quale si limitarono i poteri della corte di appello nell'opera di controllo del giudizio della corte di primo grado. Questo mutamento processuale è comunemente no to col nome di «emendamento Morgentaler» (3).
La decisione Morgentaler del 1975, poi, costituì la prima pronuncia della Corte suprema del Canada in tema di stato di necessità (4).
Successivamente, in un secondo processo per un'ulteriore violazione della normativa in tema di aborto, la giuria assolse di nuovo il dott.
Morgentaler. Il ministro federale della giustizia, poi, ordinò la revisione del processo
concernente le prime imputazioni (per cui vi era stata condanna): ancora una volta il dott. Morgentaler fu prosciolto.
A seguito dell'elezione di un nuovo governo nella provincia del Quebec (nel 1976), le otto residue azioni penali contro Morgentaler vennero
sospese (6).
Quella che era stata battezzata «un'orgia di procedimenti» (7) era al meno temporaneamente finita.
Quasi dieci anni più tardi, nuove azioni penali furono esercitate nei confronti del medico nella vicina provincia dell'Ontario.
Alla fine, nel 1988, Morgentaler è riuscito a far dichiarare l'incostitu zionalità della normativa penale canadese in tema di aborto (8).
C'è una netta differenza tra i precedenti casi Morgentaler e la decisione
qui riportata. Nei processi precedenti, le assoluzioni delle giurie sembra
vano non trovare alcun appiglio nella legge; le linee di difesa dell'imputa to avevano scarsa rilevanza giuridica qualunque fosse la loro pregnanza morale o emotiva. Al contrario, la pronuncia finale della Corte suprema
(3) Codice penale canadese, 1970, C - 34, art. 613 (4) (b) (ii). (4) (1976) S.C.R. 616. In questo caso fu pure discussa l'applicabilità
della scriminante dell'attività medica di cui all'art. 45 del codice.
(5) = «Rehearing»-, speciale potere del ministro della giustizia, rara mente utilizzato (art. 617 c.p. canadese).
(6) Potere ddVAttoney General di sospendere il procedimento, utiliz zato con una certa frequenza (cfr. art. 508 codice penale canadese).
(7) Attribuita a Rt. Hon. John Diefenbaker, ex primo ministro canadese.
(8) Supra, nota (1).
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